Le secrétaire général de l’Élysée a de nouveau refusé de se présenter devant une commission d’enquête parlementaire, cette fois-ci sur le scandale des eaux en bouteille. En tant que plus proche collaborateur d’Emmanuel Macron, il estime bénéficier d’une quasi-immunité présidentielle.
Le président états-unien revendique de réindustrialiser le pays avec une politique protectionniste. Mais une telle ambition relève plus du fantasme réactionnaire que d’une solution rationnelle à la crise capitaliste actuelle.
La manifestation de soutien organisée le 6 avril, à Paris, par le Rassemblement national, n’a pas mobilisé les foules, mais elle a été une nouvelle occasion pour Marine Le Pen d’attaquer « le système » et la justice.
Le podcast culturel de Mediapart s’intéresse aujourd’hui à une exposition importante, celle sur laquelle se fermeront les portes du Centre Pompidou pour plusieurs années, et consacrée au « Paris noir ».
Après la condamnation de Marine Le Pen, le Rassemblement national oscille entre le déni et la contre-offensive. Incapable d’explorer une autre option pour la présidentielle de 2027, le parti organise un rassemblement dimanche pour mettre la pression sur la justice.
Un enseignant d’histoire-géographie passé par Stanislas avait été suspendu par le rectorat en février 2024 après une plainte pour agression sexuelle. Un an après, il a été réintégré dans les effectifs du collège parisien Notre-Dame-de-Sion alors que l’enquête est toujours en cours.
À partir du 1er avril, de nouvelles mesures entrent en vigueur pour les demandeurs d’emploi dont la mensualisation, sur trente jours, de toutes les allocations et un durcissement des règles pour les chômeurs séniors.
La droite et l’extrême droite ont violemment attaqué les magistrats après la peine d’inéligibilité immédiate prononcée contre la cheffe de file du Rassemblement national, tandis que La France insoumise a été la seule formation de gauche à dénoncer le principe de l’exécution provisoire.
Alors que Marine Le Pen peut être condamnée pour détournements de fonds publics et déclarée inéligible par la justice lundi 31 mars, les cadres du parti d’extrême droite oscillent entre politique de l’autruche et arguments éculés sur un prétendu « gouvernement des juges » voulant mettre à mal la démocratie.
Notre podcast culturel s’intéresse à la représentation des violences sexuelles au théâtre à travers « Black Lights » de Mathilde Monnier, « Requin Velours » signé Gaëlle Axelbrun et « Seule comme Maria » par Marilou Aussilloux.
C’est une première dans l’histoire pénale et politique française : jamais une telle peine n’avait été requise pour un ancien président de la République, décrit par les procureurs comme le « commanditaire » d’un pacte de corruption avec la dictature libyenne.
La disqualification controversée de Călin Georgescu pourrait profiter à un autre candidat d’extrême droite, George Simion, à l’approche de la présidentielle du 4 mai. Mais des candidats autoproclamés indépendants espèrent aussi tirer leur épingle du jeu.
Un journaliste a été invité par erreur dans un groupe Signal de hauts responsables, dont le vice-président, qui ont discuté, au mépris des règles de sécurité nationale, des détails d’une attaque militaire au Yémen. Le scandale dévoile l’arrogance et l’imprudence de l’équipe Trump.
Depuis l’investiture du président des États-Unis, des avions militaires ont rapatrié brutalement en Inde des migrants en situation irrégulière. Mediapart a rencontré ces déboutés du « rêve américain », accueillis avec peu d’égards par le premier ministre Narendra Modi.
Mediapart révèle que le tribunal correctionnel de Montpellier a condamné l’entreprise de propreté à 50 000 euros d’amende après la mort d’un salarié en 2019, écrasé par un chariot élévateur. La société avait plaidé la relaxe, rejetant violemment la responsabilité sur le défunt.