« L’esprit critique » revient sur la pièce « Carte noire nommée désir » de Rébecca Chaillon pour s’interroger sur ce que serait un théâtre « décolonisé » ou un spectacle « décolonial ».
À travers l’exemple de « Triste Tigre » de Neige Sinno et « La prochaine fois que tu mordras la poussière » de Panayotis Pascot, « L’esprit critique » réfléchit à ce qui constitue un succès public et critique.
« L’esprit critique » revient sur les romans récompensés par trois des principaux prix littéraires de l’automne : le Goncourt, le Médicis et le Femina étranger.
À partir de la dernière pièce de Sylvain Creuzevault, « Edelweiss (France Fascisme) », « L’esprit critique » s’intéresse à la manière dont le théâtre contemporain met en scène l’histoire ou le présent du fascisme. Avec beaucoup de propositions et pas autant de réussites.
« L’esprit critique » s’intéresse aujourd’hui à une certaine tendance à réaliser des films de procès, à travers trois exemples récents, « Le Procès Goldman » de Cédric Kahn, « Anatomie d’une chute » de Justine Triet et « Saint Omer » d’Alice Diop.
Devenu en large part académique, décoratif, rentable, voire outil de gentrification, le street art et son image emblématique, le graffiti, est-il fini ? Réponse à partir de l’exposition « La Morsure des termites », au Palais de Tokyo.
« L’esprit critique » débat du premier roman de Mokhtar Amoudi, « Les Conditions idéales », de « Proust, roman familial », texte singulier signé Laure Murat, et de « Trust », le récent prix Pulitzer de l’Argentino-Américain Hernán Diaz.
En partant du film « Le Ciel rouge » de Christian Petzold et du succès des « Algues vertes » de Pierre Jolivet, « L’esprit critique » s’intéresse aux images cinématographiques à l’heure du « Nouveau Régime climatique ».
« L’esprit critique » fait sa rentrée avec deux films qui s’attachent à filmer des groupes, mais dans une optique fort différente : « Le Gang des Bois du Temple », signé Rabah Ameur-Zaïmeche et « Le Grand Chariot », de Philippe Garrel.