Cette semaine, Usul et Cotentin s’interrogent sur le cinéma français, qui peine à faire de la place aux nouveaux entrants et qui garde les meilleurs fauteuils pour ses propres enfants.
Cette semaine, Usul et Cotentin explorent le Black Bloc et les motivations de cette tête de cortège qui ne rechigne pas à la violence, avec deux manifestants adeptes de la mobilisation « franche et déterminée ».
Deux cents ans après sa naissance, Usul et Cotentin explorent cette semaine l’héritage du père fondateur du matérialisme dialectique en compagnie d’authentiques communistes du PCF.
Le vieux monde, c’est l’ISF, le PS mais également, sans doute, l’hôpital public. De grèves en crises, il survit avec ses équipes et ses grands principes aux coups de boutoir des gouvernements successifs. Il semble néanmoins qu’il n’en ait plus pour si longtemps.
Face au pouvoir, que peuvent les mots, les idées, les faits ? Est-il encore utile de tenter de le confronter, que ce soit en tant que journaliste, militant ou trublion ? Cette semaine, Usul se plie à l’exercice de l’entretien politique avec, face à lui, l’élu LREM Romain Blachier.
On dit qu’il manque au PS une figure forte tandis qu’au FN, celle de Marine Le Pen ne fait plus consensus. Mais faut-il vraiment qu’il y ait un chef, un leader ? Comment les partis de gauche soldent-ils cette question alors que la Ve République encourage dans ses institutions la personnalisation et la concentration du pouvoir ?
Maintenant que le nouveau patron de LR est face à son destin national, il est temps de voir ce qu’il a fait de son fief régional. Pour ce faire, Cotentin s’est rendu en personne devant le siège du conseil régional pour y dire des choses qu’il aurait pourtant pu dire au chaud.
Les communicants ont beau être discrets, ils n’en sont pas moins là, à bricoler pour les gouvernants des éléments de langage et des stratégies grandioses. Depuis l’ombre, ils semblent avoir la main sur ce qui se dit, ou non, dans le débat public. Comment résister à ces artifices ?
