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André Markowicz : les langues, la traduction, la transmission

André Markowicz n'a pas seulement traduit Shakespeare, tout Dostoïevski, Tchekhov, Gogol et Pouchkine. Passeur de la littérature russe en France, il est aussi celui qui, par ses traductions, fait œuvre, non sans créer parfois des polémiques. Le voici qui publie une volumineuse anthologie de la poésie chinoise Tang du VIIIe siècle. Sans connaître la langue. Explications.

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François Bonnet et Dominique Conil

Il y a Shakespeare. Il y a ce travail titanesque de traduction des œuvres complètes de Fiodor Dostoïevski, puis du théâtre de Tchekhov, de Gogol, de Pouchkine. André Markowicz n'est pas tout à fait un traducteur comme les autres. Revendiquant volontiers sa vision d'une œuvre, tentant de la transmettre dans le respect de son intégrité mais se refusant à enfouir la subjectivité du traducteur, il a bouleversé l'approche de la littérature russe et a dépoussiéré plusieurs de ses classiques.

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