Dans une revue de presse et de tweets haute en couleur, Le Temps de Genève montre les ouvertures, les fermetures, les sidérations sottement coincées ou laborieusement raisonnées des Français face à leur idiome national. C'est à la fois tordant et instructif, tant le fixisme nécrosé, en matière langagière, tue ce qu'il croit sauvegarder…
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