Au début, la Terre était plate, et le web aussi. Plat, ouvert, infini, décentralisé. Et puis il s’est concentré, et Louise Drulhe en a fait une planète, ou une orange. Une sphère en tout cas. « La sphère est une forme très symbolique, un espace fini. La pratique du web est finie aussi, on n’ouvre pas tout, on s’arrête », explique-t-elle à Mediapart. « Je voulais représenter 100 % de l’activité, comme dans un camembert », ajoute la jeune (28 ans) designer graphique, dessinatrice et artiste.
Vous êtes abonné(e) Identifiez-vous
Pas encore abonné(e) ? Rejoignez-nous
Choisissez votre formule et créez votre compte pour accéder à tout Mediapart.
Abonnez-vous