Fukushima, laboratoire de la résilience

L’accident de la centrale de Fukushima et la contamination des régions alentour furent l’occasion de mettre en place une « politique de la résilience » que le chercheur Thierry Ribault décrit comme une pure technologie du consentement.

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Il ne s’écoule plus guère de semaines sans que le label « résilience » soit accolé à telle ou telle initiative, en particulier dans le domaine environnemental, à l’instar du projet de loi « Climat et résilience » dont l’examen a débuté lundi 8 mars à l’Assemblée nationale.

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