Série Épisode 3 Saint-Nicaise : épopée d’un quartier prolétarien de Rouen

Rouen, 2016 : le retour du « génie » de la Commune

En 1871, la Commune de Rouen est tuée dans l’œuf, mais l’œuf demeure – les quartiers populaires. Le génie de la Commune renaît un certain printemps 2016, à Rouen, sous la pression de la spéculation immobilière. Troisième et dernier épisode de notre série rouennaise.

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Le 16 mai 2016, dix jours après la création de la Commune Saint-Nicaise, sont déployées à la base de la flèche du clocher de l’ancienne église paroissiale les couleurs de l’anarchie – le noir du deuil de la liberté – et de la Commune – le rouge sang de la « République du travail » (Karl Marx), teinte vive de l’espérance jamais tarie, malgré les ponctions réactionnaires, d’une égalité sociale qui « finira par confondre tous les Français dans une seule classe, celle des travailleurs », ainsi qu’on peut le lire dans un article paru le 31 mars 1871 dans le Journal officiel de la Commune, où l’histoire et la symbolique du drapeau rouge sont expliquées[1].

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