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Gauz, dans la peau d’un colon blanc du XIXe siècle

L’écrivain franco-ivoirien Gauz revisite l’histoire coloniale et ses conséquences en se mettant dans la peau d’un colon blanc du XIXe siècle, mais aussi dans celle d’un enfant métis issu de la colonisation renouant avec son pays d’origine, la Côte d’Ivoire.

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Rachida El Azzouzi et Lucie Delaporte

Il y a quatre ans, Gauz (nom de plume d’Armand Patrick Gbaka-Brédé) signait son premier roman aux éditions Le Nouvel Attila : Debout-Payé. Une immersion dans la tête d’un vigile ivoirien d’un grand magasin parisien, dans cette France d’un précariat essentiellement constitué de minorités invisibilisées par notre société de l’hyperconsommation. Le succès a été au rendez-vous mais il s’est assorti d’un cliché dont l’auteur avoue avoir du mal encore à se dépêtrer aujourd’hui et qui, reconnaît-il, fut vendeur : « Le grand Noir vigile (pendant deux ans, pas toute sa vie) qui écrit un livre pas mauvais. »

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