Violences sexistes et sexuellesReportage

Adèle Haenel : le cinéaste Christophe Ruggia ressert en appel sa théorie d’un complot lesbien

Condamné en première instance à quatre ans de prison dont deux avec sursis pour des agressions sexuelles sur l’actrice Adèle Haenel entre ses 12 et 14 ans, le réalisateur a été longuement interrogé, vendredi, par la cour d’appel de Paris. Une seconde journée d’audience aura lieu en janvier.

Christophe Gueugneau

Le procès en première instance s’était étalé sur deux jours ; pour celui en appel, la cour n’avait prévu qu’une demi-journée d’audience. Cela n’a pas suffi. Resté pendant près de six heures à la barre, le réalisateur Christophe Ruggia a maintenu sa ligne de défense : il nie la totalité des faits qui lui sont reprochés, à savoir des agressions sexuelles entre 2001 et 2004 sur la jeune actrice Adèle Haenel, alors âgée de 12 à 14 ans.

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