Les « Mémoires » si actuels du général et « dissident » Piotr Grigorenko

De son vivant, l’ancien général de l’Armée rouge, originaire d’Ukraine et mort en 1987, s’était solidarisé avec les Tatars de Crimée, revendiquant leurs droits après le génocide perpétré par le régime stalinien. Son combat pour le droit des peuples à disposer d’eux-mêmes prend, avec le recul, une forte résonance.

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Dans le fracas de la guerre, dans les douleurs et les drames qu’elle génère, c’est d’abord aux victimes que l’on pense. Face à l’abominable agression perpétrée par le dictateur russe, c’est d’abord au peuple ukrainien que l’on songe ; à celles et ceux qui se battent les armes à la main pour essayer de résister à l’invasion ; aux familles qui, dans le plus grand dénuement, dans la détresse la plus extrême, sont poussées sur les chemins de l’exode. Et ce n’est pas sur des événements du passé que l’on a d’abord envie de méditer.

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