« Si l’Azerbaïdjan possédait une femme comme Larissa Mikhailovna, s’écrie un jour le bouillant bolchevik géorgien Sergo Ordjonikidzé, vous pouvez m’en croire, les femmes d’Orient auraient depuis longtemps rejeté leur tchador et l’auraient planté sur la tête de leur mari. »[1] (Lire les notes de cet article sous l’onglet Prolonger.) Là n’était sans doute pas le principal mérite, d’ailleurs virtuel, de Larissa Reisner. Mais l’enthousiasme d’Ordjonikidzé reflète l’impression étourdissante produite par cette jeune femme, que le typhus emportera à l’âge de 31 ans.
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