Il s’appelle Theodor Plievier et, reconnaissons-le, son nom est tombé dans un profond oubli. Il fut pourtant l’un des écrivains allemands les plus lus dans les années 1930 puis dans l’après-guerre. Plievier n’était pas que romancier. Les intellectuels l’ennuyaient, il se méfiait des partis politiques, détestait les grandes théories et regardait l’humanité au niveau des individus : des êtres de chair, de sang, de malheur, de misère, de révolte face, justement, à l’immense inhumanité de ce que fut en Europe la première moitié du XXe siècle.
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