« Le mois de mai, tout le monde s’y attendait, fut explosif. » Et ce récit-là est une explosion de rire. Gros comme une nouvelle, Désordre, le dernier roman de Leslie Kaplan, se lit d’abord comme une fable. Rien n’est daté, si ce n’est que l’époque se situe après le XIXe siècle, on y parle de quelque chose de l’ordre de la survie dans un monde cruel, d’injustice et de pouvoir, et comme il se doit, la fin peut s’entendre comme la morale de l’histoire.
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