Le nouveau roman de Nathacha Appanah,« Rien ne t’appartient », aborde ses thèmes fétiches : le deuil, les traumatismes, la double identité ou la dépression profonde. Avec maestria, l’autrice se balade dans des sujets très actuels et parfois épineux avec beaucoup de poésie. Ici, la littérature prime.
Dans un monde postapocalyptique et post-soviétique, Antoine Volodine s’attache à (d)écrire avec « Les Filles de Monroe » une brillante fantaisie sur la décrépitude des idéaux révolutionnaires. À moins qu’il ne s’agisse du naufrage de toutes les illusions.
C’est un roman de 752 pages qui se lit sans relâche. L’auteur y démonte avec puissance et finesse un infanticide ayant mis la France en émoi au printemps 1964 : l’affaire de « l’étrangleur ».
Le roman de la rentrée est écrit par un cinéaste, et ce n’est pas Tarantino. Dans « Rabalaïre » d’Alain Guiraudie, comme à Hollywood, mais en pays occitan, il y a du sexe, du mystère, de l’amour, des morts. Et du vélo.
Le premier roman de Salomé Kiner raconte l’histoire d’une jeune fille vivant à la fin du siècle dernier à « onze stations et 39 minutes » des Champs-Élysées. Une jeune fille à la fois innocente et sans complexe qui apprend. Irrévérencieux, direct, « cash », dirait-on aujourd’hui.
En cette rentrée littéraire, Lydie Salvayre publie « Rêver debout », un roman adressé à Cervantès, et « Famille », nouvelle version d’un texte sorti en 2002 qui dessine un triangle entre un fils schizophrène, un père abusif et une mère qui se réfugie dans sa vision du monde. Et c’est la figure de la mère qui relie ces deux textes.
Sorj Chalandon, avec Enfant de salaud, et Katharina Volckmer, dans Jewish Cock, reviennent sur l’héritage de la Seconde Guerre mondiale. Mais comment faire retour sur cette histoire, de nouveau ?
Jeremie Brugidou, Sabrina Calvo et Thomas Giraud partagent une écriture en mouvement, en recherche, propre à exprimer les écarts, les failles, les échecs, mais aussi les transmissions et les circulations. Malgré leurs thèmes plutôt sombres et forts différents, ils signent trois romans enthousiasmants et humanistes.
En suivant le destin d’une vingtaine de personnages réunis autour d’un groupe d’amis qui, pour beaucoup, sont partis en exil, « Poussière dans le vent » est sans doute l’un des livres les plus personnels de Leonardo Padura, celui dans lequel sa vision du Cuba postrévolutionnaire s’exprime le plus clairement.
En partenariat avec le festival Cinéma(s) d'Iran qui se tient chaque année en juin à Paris, une sélection de courts métrages. Dans cette série sont rassemblés ceux des années 2014, 2015, 2016, 2018 et 2022. Certains ne sont plus visibles, les droits de diffusion de Mediapart étant épuisés.
Chaque trimestre, Mediapart publie un article issu du dernier numéro de la revue La Déferlante, consacrée aux révolutions féministes. Il s’agit à chaque fois de la rubrique « Retour sur », qui revient sur un événement passé, important pour l’histoire des féminismes ou des droits des femmes et des mi...
Comme chaque année, Mediapart diffuse les Rencontres d’Averroès, qui contribuent à penser la Méditerranée des deux rives. L’édition 2021, intitulée « Croyances et sacrés entre Europe et Méditerranée », s’est tenue mi-novembre au Théâtre de La Criée, à Marseille.
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