À Belém, une COP pour sauver l’accord de Paris Reportage

À deux pas de la COP30, autochtones et Afro-Brésiliens luttent contre des multinationales occidentales qui les intoxiquent

Près de Belém (Brésil), où se déroule le sommet international pour le climat, des groupes miniers polluent depuis des décennies les communautés autochtones et « quilombolas » locales. Celles-ci dénoncent la dévastation de leurs territoires comme de leurs corps par l’extractivisme.

Mickaël Correia

Barcarena (État du Pará, Brésil).– « Nous nous sommes fait coloniser par les Portugais et ce colonialisme perdure avec les grandes entreprises qui veulent nous expulser de nos terres ! », s’indigne au micro Carlos Espindula, quinquagénaire déterminé aux larges lunettes.

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