Éclats de sciences

Prendre en compte la longévité des animaux pour mieux protéger la biodiversité

Les humains tuent préférentiellement les gros animaux, souvent les plus âgés et expérimentés. Ce comportement a de graves conséquences sur les écosystèmes car les vieux individus contribuent à la survie de leur espèce.

Yves Sciama

« Un vieillard qui meurt, c’est une bibliothèque qui brûle », selon un adage attribué à Amadou Hampâté Bâ. L’écrivain malien ignorait sans doute que sa réflexion s’applique, par-delà l’humanité, à des pans entiers du vivant.

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