Française des jeux: vers la plus nauséabonde des privatisations
Dans le lot des privatisations préparées par le gouvernement, celle de la Française des jeux est la plus symptomatique. Risques de blanchiment, d’addiction ou de fraudes… l’abandon de cette entreprise publique à des clans affairistes est hautement dangereux. Même Sarkozy y avait renoncé.
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VoilàVoilà belle lurette que l’on sait que les prochaines privatisations seront sulfureuses. Comme depuis bientôt trente ans, la gauche et la droite ont multiplié les opérations de cession d’entreprises publiques, il n’y a plus grand-chose à offrir à la boulimie des marchés financiers. Plus grand-chose, sauf des entreprises stratégiques ou des services publics de première importance.