Il ne s’agit que d’une poignée de licenciements, mais le symbole dépasse largement les quinze personnes qui devraient perdre leur emploi. Un petit plan social a été lancé en toute discrétion par une « pépite » de la « French tech », Blablacar, valorisée à plus d’un milliard d’euros et dont le fondateur, Nicolas Brusson, est un habitué des plateaux télé.
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