Craignant une épreuve de force sociale avec les cheminots, le gouvernement multiplie les messages rassurants et cherche à convaincre l’opinion que la réforme envisagée de la SNCF poursuivra de très nobles ambitions : sauver l’entreprise et assurer son redressement. Il prend même à témoin les usagers, faisant valoir que ceux-ci sont excédés par les retards trop fréquents des trains et appellent eux-mêmes de leurs vœux un sursaut.
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