Uber, Deliveroo : les batailles de l’ubérisation

Chez Just Eat, le CDI n’est pas la panacée

Cette plateforme de livraison de repas avait annoncé en fanfare vouloir embaucher directement 4 500 livreurs. Mais ces derniers ne décrivent pas des conditions de travail vraiment meilleures que sous le statut d’autoentrepreneur. Et l’entreprise lance un plan de licenciement.

James Gregoire

Deliveroo condamné au paiement d’une amende de 375 000 euros, le maximum prévu, pour travail dissimulé : la décision rendue ce 19 avril par le tribunal judiciaire de Paris était attendue avec une certaine fébrilité par le petit monde de l’« ubérisation », où la mécanique utilisée par Deliveroo est aussi celle de la plupart de ses concurrents. 

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