Depuis cinq ans, l’essentiel du débat public sur le commerce a été monopolisé, en Europe, par deux traités de libre-échange : l’un avec les États-Unis (TTIP ou TAFTA, depuis tombé à l’eau) et l’autre avec le Canada (CETA, en cours de ratification par les capitales, y compris Paris). Ce fut l’occasion, pour beaucoup d’acteurs de la société civile, de monter au créneau et de dénoncer les risques associés à ces textes. En particulier parce qu’ils pourraient renforcer la protection juridique des investisseurs privés et réduire la capacité de certains États à légiférer.
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