L'avant-dernier chapitre de l'affaire Vinci s'est écrit vendredi 28 mars devant le tribunal de commerce de Nanterre. L'ancien PDG du groupe de BTP, Antoine Zacharias, y réclamait le droit de pouvoir récupérer 1,8 million de stock-options, soit 82,5 millions d'euros au cours actuel, plus 81 millions d'euros au nom de la «perte de chance» et un euro au nom du préjudice moral, pour avoir été démis de ses fonctions en juin 2006.
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UneUne salle d'audience vide ou presque, une poignée d'avocats et, au deuxième rang, un homme suivant attentivement les plaidoiries, s'agitant quelquefois à la suite de quelques propos tenus. Ainsi s'est écrit vendredi 28 mars devant le tribunal de commerce de Nanterre l'avant-dernier chapitre de l'affaire Vinci.