Portugal: comment le FMI s’est «planté» sur le dossier du secteur financier
16 milliards d'euros : c'est la toute nouvelle facture supplémentaire de l'interminable crise bancaire portugaise, incluant la recapitalisation de la banque publique CGD. Publiée récemment, une analyse critique indépendante explique pourquoi le FMI a échoué dans le volet financier de son intervention.
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Les conditions imposées par les institutions européennes, BCE et Commission de Bruxelles, à la recapitalisation de la Caixa Geral de Depositos (CGD), la banque publique qui détient plus de 20 % du marché portugais, sont une humiliation pour la « geringonça » (le machin), gouvernement « des gauches » qui règne à Lisbonne. Mais elles signalent une avancée louable par rapport à la manière dont les « institutions », autrefois connues comme la « troïka » (Commission-FMI-BCE), avaient traité, sans la vigueur ni la lucidité nécessaires, cette dimension cruciale de la crise portugaise, ainsi que l’analysent les rapports de l’Office indépendant d’évaluation (IEO) du Fonds monétaire international, rendus publics pendant l’été.
De nombreux témoignages et des documents obtenus par Mediapart montrent ce qui est proposé par ce prestigieux établissement catholique. Une quinzaine d'anciens élèves racontent les « humiliations » et les « souffrances » vécues.
La mort d’un bébé survenue la semaine dernière à Lyon a provoqué la stupéfaction. Mais depuis de longs mois, les conditions d’accueil en crèche se dégradent. Et des professionnels, des experts ou représentants du secteur tirent la sonnette d’alarme. Témoignages.
L’ancien président de l’UEFA a reçu de luxueux cadeaux offerts par l’oligarque ukrainien Grigori Surkis, aujourd’hui mêlé à une affaire de « détournement de fonds » présumé en lien avec les fédérations ukrainienne et européenne de football.
Jeudi 16 juin, une élève venue passer une épreuve du bac français dans un lycée parisien dit avoir été « agressée » par une responsable éducative qui n’aurait pas apprécié qu’elle vienne voilée et lui a fait rater le début de l’épreuve. Des témoins confirment la violence de la scène.
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