À la sortie de la gare RER déserte, près du parc des expositions de Villepinte, au nord de la région parisienne, les rares passants ont presque tous une pochette cartonnée sous le bras, dont s’échappent des feuilles volantes. Des CV à déposer dans les boîtes aux lettres des nombreuses agences d’intérim, restées fermées depuis le 17 mars ou ne recevant que sur rendez-vous.
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