La question posée ce mercredi aux magistrats de la Ire chambre civile du tribunal de Paris ne manque pas d’intérêt : les pratiques illégales répétées de policiers du XIIe arrondissement de Paris contre des adolescents discriminés en raison de leur apparence constituent-elles une faute lourde de l’État qui demande réparation ? C’est ce que soutient la procédure visant le ministre de l’intérieur et l’agent judiciaire de l’État pour des faits de « harcèlement discriminatoire ».
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