Les cheminots très mobilisés lancent la semaine sociale
Le gouvernement prévoyait un bras de fer syndical, mais s'attendait-il à une telle mobilisation ? La SNCF est presque à l'arrêt depuis ce mardi matin, avec un TGV sur huit sur les rails et des lignes intercités parfois complétement stoppées. Chez Air France, un quart des avions restent au sol, alors que d'autres mouvements – éboueurs, électriciens, fonction publique, universités – lancent des actions à partir d'aujourd'hui. Le scénario d'une « coagulation » est possible.
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En lançant sa réforme par ordonnances, le gouvernement savait qu’il s’engageait dans une épreuve de force avec les salariés de la SNCF. Certains le soupçonnent même d’avoir délibérément choisi une confrontation brutale, d’être à la recherche d’un moment thatchérien comparable à la grève des mineurs en 1984, qui avait marqué la fin du mouvement ouvrier en Grande-Bretagne. Mais, même en ayant anticipé un bras de fer, le gouvernement s’attendait-il à une mobilisation aussi forte des salariés de l’entreprise publique contre son projet ?
De nombreux témoignages et des documents obtenus par Mediapart montrent ce qui est proposé par ce prestigieux établissement catholique. Une quinzaine d'anciens élèves racontent les « humiliations » et les « souffrances » vécues.
La mort d’un bébé survenue la semaine dernière à Lyon a provoqué la stupéfaction. Mais depuis de longs mois, les conditions d’accueil en crèche se dégradent. Et des professionnels, des experts ou représentants du secteur tirent la sonnette d’alarme. Témoignages.
L’ancien président de l’UEFA a reçu de luxueux cadeaux offerts par l’oligarque ukrainien Grigori Surkis, aujourd’hui mêlé à une affaire de « détournement de fonds » présumé en lien avec les fédérations ukrainienne et européenne de football.
Jeudi 16 juin, une élève venue passer une épreuve du bac français dans un lycée parisien dit avoir été « agressée » par une responsable éducative qui n’aurait pas apprécié qu’elle vienne voilée et lui a fait rater le début de l’épreuve. Des témoins confirment la violence de la scène.
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