Alors que le conseil fédéral d'Europe Écologie-Les Verts (EELV) doit valider ce week-end sa candidature à la présidentielle, Yannick Jadot peine à dépasser ses divisions avec Sandrine Rousseau, qui a réuni presque la moitié des électeurs au deuxième tour de la primaire écolo.
La lecture des articles est réservée aux abonné·es.
Se connecter
CeCe n’est que l’aube de la campagne présidentielle, mais Yannick Jadot, qui se rêve en futur « président du climat », danse déjà sur un volcan. Ce week-end, le conseil fédéral d’Europe Écologie-Les Verts (EELV) doit valider sa candidature à la présidentielle, après sa victoire d’une courte tête à la primaire écologiste avec 51,03 % des voix. Mais l’étape du rassemblement de la famille écolo connaît des turbulences. Sa rivale, Sandrine Rousseau, peut se targuer d’avoir réuni 49 % des voix et d’avoir bousculé les attentes du scrutin en faisant émerger des thèmes jusque-là marginaux, tels que l’écoféminisme, l’intersectionnalité ou la radicalité.