Institutions

Bilan Macron. Probité, transparence : les promesses oubliées

Élu en partie grâce à l’affaire François Fillon, Emmanuel Macron avait prôné en 2017 la « probité » et la « transparence », avant que son entourage ne soit à son tour rattrapé par les affaires. Celles-ci ont révélé son rapport à la justice et à l’exemplarité.

Michel Deléan

En mai 2017, c’est le candidat de la « probité » et de la « transparence » qui a été élu à la présidence de la République, en partie grâce à l’affaire Fillon. Et de façon symbolique, le premier texte de loi voté sous le quinquennat Macron porte sur la moralisation de la vie publique. Rebaptisé loi « sur la confiance dans la vie politique », il comporte quelques avancées indéniables, comme la fin des emplois familiaux pour les parlementaires et le contrôle de leurs frais professionnels.

Réservé aux abonné·es

Se connecter

La lecture des articles est réservée aux abonné·es

Se connecter