Le Pen-Poutine : dix ans de soutien que la candidate du RN veut faire oublier

Depuis le début de la guerre en Ukraine, Marine Le Pen assure qu’elle a toujours défendu une ligne « à équidistance » des États-Unis et de la Russie. En réalité, dès son arrivée à la tête du FN en 2011, elle a soutenu le Kremlin et son parti a bénéficié de deux prêts russes.

La lecture des articles est réservée aux abonné·es. Se connecter

Une politique étrangère « à équidistance » des États-Unis et de la Russie. C’est ce que répète Marine Le Pen pour justifier les liens étroits qu’elle a entretenus avec le Kremlin avant le déclenchement de la guerre en Ukraine. Depuis un mois, elle n’a de cesse de vanter sa « vision gaullienne de la France et de la diplomatie française », qui se caractériserait par « l’indépendance, l’équidistance et la constance ».

1€ pour 15 jours

Résiliable en ligne à tout moment

Je m’abonne

L’info part de là

Soutenez un journal 100% indépendant : sans subventions, sans publicités, sans actionnaires

Tirez votre information d’une source de confiance

Accédez en exclusivité aux révélations d’un journal d’investigation

Déjà abonné ?

Mot de passe oublié

Voir la Une du Journal