C’est l’épilogue d’une affaire qui a débuté en décembre 2019, quand un policier noir de 43 ans prénommé Alex, en poste à l’Unité d’assistance administrative et judiciaire (UAAJ) de Rouen, a découvert que plusieurs de ses collègues échangeaient des messages racistes, antisémites, sexistes et homophobes dans un groupe privé sur l’application WhatsApp.
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