Justice Chronique

Au procès de Magnanville : « Le fantasme de l’horreur fait décupler les monstres »

Au procès de l’assassinat, en 2016, de deux policiers, une psychologue a battu en brèche lundi la thèse d’un complice, en relativisant le sens à donner aux cauchemars de l’enfant du couple.

Matthieu Suc

À quoi cela tient, une réclusion criminelle à perpétuité ? On avait laissé le procès de Magnanville, convaincu que le destin de Mohamed Lamine Aberouz était très mal embarqué, après le témoignage d’un commissaire de la SDAT, lequel avait détaillé à la barre les contours d’une enquête qui, au-delà de ce qui figurait déjà dans l’acte d’accusation, se révélait très embarrassante pour le seul accusé devant répondre de complicité dans l’assassinat du couple de policiers Jean-Baptiste Salvaing et Jessica Schneider. 

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