En Guadeloupe, collectif mobilisé, élus et État campent sur leurs positions
Lors d’une rencontre jeudi à Pointe-à-Pitre, les élus de l’île et les membres du collectif ont convenu de la nécessité d’une commission interministérielle pour négocier. Au ministère des outre-mer, on en reste à la position initiale : les revendications ne relèvent pas de l’État.
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Pointe-à-Pitre (Guadeloupe).– C’est un retour à l’envoyeur qui a parcouru 8 000 kilomètres. Jeudi 2 décembre, au dix-huitième jour de la mobilisation sociale en Guadeloupe, qui consiste essentiellement en des barrages sur les grands axes routiers de l’île, le collectif d’une trentaine d’organisations à l’origine du mouvement avait rendez-vous avec une délégation d’élu·es de l’île.
Mardi 2 août, une majorité d’électeurs de l’État américain du Midwest a rejeté un amendement à la Constitution locale qui aurait permis la restriction, voire l’interdiction, du droit à l’avortement. Il s’agissait du premier test électoral depuis la révocation de l’arrêt « Roe v. Wade » en juin.
À la suite d’une révolte des emprunteurs, le pouvoir a dû réagir pour stabiliser la situation, mais le vrai problème reste son incapacité à construire un nouveau modèle économique.
Le 20 juillet, des milliers de colons israéliens se sont donné rendez-vous aux quatre coins de la Cisjordanie pour y créer dix nouveaux avant-postes en une soirée, espérant influencer la politique du gouvernement. Au grand dam des Palestiniens, qui voient de plus en plus de terres confisquées, et la violence des colons s’intensifier.
Les vagues de chaleur océanique s’intensifient, comme l’alerte la climatologue du Giec Valérie Masson-Delmotte. Elles causent le blanchissement et la dégradation des récifs coralliens, la mortalité de masse d’oiseaux marins, mais aussi des risques pour la santé humaine à cause de la prolifération d’algues toxiques.
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