Guadeloupe et Martinique, de crise en crise Reportage

En Guadeloupe, collectif mobilisé, élus et État campent sur leurs positions

Lors d’une rencontre jeudi à Pointe-à-Pitre, les élus de l’île et les membres du collectif ont convenu de la nécessité d’une commission interministérielle pour négocier. Au ministère des outre-mer, on en reste à la position initiale : les revendications ne relèvent pas de l’État.

Christophe Gueugneau

Pointe-à-Pitre (Guadeloupe).– C’est un retour à l’envoyeur qui a parcouru 8 000 kilomètres. Jeudi 2 décembre, au dix-huitième jour de la mobilisation sociale en Guadeloupe, qui consiste essentiellement en des barrages sur les grands axes routiers de l’île, le collectif d’une trentaine d’organisations à l’origine du mouvement avait rendez-vous avec une délégation d’élu·es de l’île.

Réservé aux abonné·es

Se connecter

La lecture des articles est réservée aux abonné·es

Se connecter