A Montpellier, la Paillade dit adieu au front républicain

Dans ce quartier populaire, l’abstention a pris des allures de sanction, et devient même parfois militante et revendicative. Lors du premier tour, 40 % ne se sont pas déplacés. Face aux inégalités sociales, aux discriminations ou à l’état d’urgence, le risque FN n’effraie plus.

Nejma Brahim

4 mai 2017 à 13h30

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Montpellier (Hérault), envoyée spéciale.-  Elle est redoutée par les uns, plébiscitée par les autres. Elle est aussi le bruit sourd de l’un des seuls moyens d’expression d’une partie des citoyens. À chaque élection en France, l’abstention est surveillée comme un indicateur de la bonne santé politique. Et dans les quartiers populaires, la vie politique a plutôt tendance à être souffrante.

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