«Cette semaine, après une garde de 24 heures que j’ai finie le matin, j’ai dû me rendre à la préfecture pour la quatrième fois pour essayer de régler ma situation », lâche Amin, dépité. Anesthésiste réanimateur dans un hôpital public situé en Île-de-France, ce Tunisien est venu en France en 2017 en tant que praticien attaché associé. Depuis plus d’un an, il n’a pas de carte de séjour à cause d’une procédure qui « traîne » entre la préfecture et la Direccte (Direction régionale des entreprises, de la concurrence, de la consommation, du travail et de l’emploi).
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