Le 13 janvier 2015, la cour d’appel de Nancy devra trancher le cas d’un ingénieur français de confession musulmane qui s’est vu interdire par EDF, depuis le 31 mars 2014, l’accès à l’ensemble des sites nucléaires français. Le 1er septembre, en première instance, le tribunal administratif de Châlons-en-Champagne a confirmé cette interdiction au motif que le jeune homme entretiendrait « des liens probables » avec « un imam adepte de l’idéologie salafiste, impliqué dans le recrutement de jeunes combattants ».
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