Musiques du monde : à Ginger Sounds, « l’enfer » du décor
Huit ancien·ne·s services civiques et stagiaires de l’agence artistique parisienne, connue pour ses engagements féministes et antiracistes, dénoncent des conditions de travail anxiogènes et mettent en cause son patron. Ces témoignages lèvent le voile sur les coulisses de structures musicales économiquement fragiles.
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AucunAucun genre musical n’incarne mieux la diversité, l’ouverture et la tolérance que les musiques dites du monde. Dans ce microcosme, Mounir Kabbaj fait partie des personnes qui comptent. Secrétaire général de Zone franche, après en avoir été le vice-président, le réseau qui fédère quelque 200 structures françaises du secteur, juré en 2017 à la prestigieuse World Music Expo de Katowice (Pologne), le trentenaire est le fondateur de Ginger Sounds, une agence spécialisée combinant des activités de management et de booking d’artistes, de communication et de développement d’actions culturelles, dans « un univers singulier, résolument novateur et progressif », ainsi que l’annonce le site internet.