Adoptée le 26 mars par les députés en première lecture, la loi santé a notamment pour ambition de pousser à l’exercice groupé du soin, pour favoriser une médecine de ville dynamique, davantage en lien avec le secteur hospitalier. En ligne de mire, un désengorgement de l’hôpital public, qui souffrirait d’un recours trop important des usagers, venus y chercher des soins qu’ils pourraient trouver ailleurs.
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