Politique économique Analyse

En défendant le « travailler plus », le macronisme s’ancre dans le conservatisme

Avec la monétisation des RTT, la réforme de l’assurance-chômage et celle des retraites, le début du deuxième quinquennat d’Emmanuel Macron s’appuie sur le discours du « travailler plus ». Cette injonction est une figure classique du conservatisme social qui s’oppose au progressisme, même le plus modéré.

La lecture des articles est réservée aux abonné·es. Se connecter

La nouvelle volonté de remise en cause de la loi sur les 35 heures, qui a trouvé la majorité au Sénat cette semaine avec la « monétisation » des heures de réduction du temps de travail, et sera adoptée définitivement ce jeudi, a mis de nouveau au jour un point commun fondamental entre la majorité présidentielle et la droite traditionnelle : l’obsession du « travailler plus ». Une obsession que l’on retrouve aussi au cœur de l’argumentaire autour de la réforme des retraites ou de la réforme de l’assurance-chômage.

1€ pour 15 jours

Résiliable en ligne à tout moment

Je m’abonne

L’info part de là

Soutenez un journal 100% indépendant : sans subventions, sans publicités, sans actionnaires

Tirez votre information d’une source de confiance

Accédez en exclusivité aux révélations d’un journal d’investigation

Déjà abonné ?

Mot de passe oublié

#FREEMORTAZA

Depuis le 7 janvier 2023 notre confrère et ami Mortaza Behboudi est emprisonné en Afghanistan, dans les prisons talibanes.

Nous ne l’oublions pas et réclamons sa libération.

En savoir plus sur #FREEMORTAZA

Aujourd’hui sur Mediapart

Voir la Une du Journal

#FREEMORTAZA

Depuis le 7 janvier 2023 notre confrère et ami Mortaza Behboudi est emprisonné en Afghanistan, dans les prisons talibanes.

Nous ne l’oublions pas et réclamons sa libération.

En savoir plus sur #FREEMORTAZA