Libertés publiques

BriefCam : la Cnil met en demeure le ministère de l’intérieur et six communes

Après une série de contrôles du logiciel de vidéosurveillance algorithmique, la Commission nationale de l’informatique et des libertés a relevé quelques manquements et demandé que soit désactivée la reconnaissance faciale. Une décision très insuffisante, selon La Quadrature du Net.

Jérôme Hourdeaux

La Commission nationale de l’informatique et des libertés (Cnil) a annoncé, jeudi 5 décembre, avoir mis en demeure le ministère de l’intérieur, ainsi que six communes, en raison de manquements dans l’utilisation du logiciel de vidéosurveillance algorithmique (VSA) BriefCam.

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