«Regarde-moi, maman. C’est pour toutes les victimes que j’écris, celles, si nombreuses, que l’on n’évoque jamais parce qu’on ne sait pas les regarder. » Ces mots, bouleversants, viennent conclure les pages nerveuses du récit de Camille Kouchner, La Familia grande (Seuil) à paraître le 7 janvier.
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