Vaccination: les conseils et autorités sanitaires renvoient toute responsabilité sur l’exécutif

La tentation est grande pour le gouvernement de désigner comme coupables du fiasco de ce début de campagne de vaccination les nombreuses agences et autorités de santé chargées de le conseiller. Ces dernières n’entendent pas porter le chapeau, soulignant qu’il revient au ministère de coordonner, de décider et d’appliquer.

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Ce fut jusqu’aux tout premiers jours de janvier la ligne de défense du ministre de la santé, Olivier Véran. Le retard français dans la vaccination – le « décalage », préférait-il dire – était d’abord le souci d’un respect sourcilleux des recommandations des multiples autorités, agences et autres conseils sanitaires. Et de citer en particulier la Haute Autorité de santé (HAS) et le Comité consultatif national d’éthique. « C’est une condition de confiance pour réussir la vaccination », ajoutait le ministre.

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