A Marseille, après l'effondrement: «on se doutait que ça allait arriver»
Un cinquième corps a été retrouvé mercredi, après l’effondrement de trois immeubles dans un quartier populaire du centre-ville de Marseille. Ce drame intervient alors que les programmes de rénovation urbaine sont sans cesse retardés.
Violette Artaud (Marsactu)
et Benoît Gilles (Marsactu)
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« Ce matin, elle est venue nous dire qu’elle était en train de faire les démarches pour quitter cet endroit. Ce soir [lundi soir – ndlr], on n’a toujours pas de nouvelles d’elle. » Dans le local de l’association « Destination familles », l’humeur oscille entre colère et tristesse. Lundi 5 novembre, aux alentours de 9 heures, deux immeubles situés aux 63 et 65 de cette rue de Noailles à Marseille se sont effondrés. “Elle” habite l’un d’eux. Elle avait l’habitude d’emmener son fils de 7 ans dans les locaux de cette association qui fait notamment du soutien scolaire. À 16 h 30, elle n’est pas venue le chercher à l’école.
L’arrivée au pouvoir de Xi Jinping il y a près de dix ans a été marquée par un durcissement du contrôle du débat public en Chine, en particulier sur les réseaux sociaux. Les critiques de la politique « zéro Covid » ou de la guerre déclenchée en Ukraine par l’allié russe viennent d’en faire les frais.
Après quelque 150 projections-débats dans des cinémas partout en France, « Media Crash » est désormais disponible sur Mediapart, avec des bonus. Le film a suscité l’inquiétude des dizaines de milliers de spectateurs qui l’ont déjà vu, face à la mainmise sur l’information de quelques propriétaires milliardaires, aux censures qu’il révèle et à la fin annoncée de la redevance.
par
Valentine Oberti
et Luc Hermann (Premières lignes)
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— Entretien
Le commissaire divisionnaire SI 562 – le nom de code le désignant – a dirigé la section chargée des enquêtes judiciaires liées au terrorisme islamique à la DGSI, entre 2013 et 2020. Il offre à Mediapart une plongée inédite dans les arcanes du service de renseignement.
L’affaire Patrick Poivre d’Arvor est symptomatique de la culture de l’impunité et de la tolérance sociale qui a longtemps prévalu, notamment dans les entreprises, concernant les comportements sexuels problématiques. Elle est aussi le reflet du chemin qu’il nous reste à parcourir.
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