Libertés publiques

Qualifier le Hamas d’« organisation de résistants » est-il une apologie du terrorisme ?

Homme politique et personnalité des réseaux sociaux, Ismaël Boudjekada comparaissait à Nanterre pour des messages sur les réseaux sociaux qualifiés de « glorification du terrorisme » par les parties civiles. Une peine de douze mois de prison avec sursis a été requise. Décision le 20 juin.

Jérôme Hourdeaux

C’est un maillot d’entraînement noir de l’équipe algérienne de football sur le dos et un keffieh sur les épaules que l’homme politique et personnalité des réseaux sociaux Ismaël Boudjekada est venu se défendre, jeudi 6 juin devant le tribunal de Nanterre, des accusations d’apologie du terrorisme portées contre lui.

Réservé aux abonné·es

Se connecter

La lecture des articles est réservée aux abonné·es

Se connecter