Parlement Analyse

Le PS met l'affaire Woerth entre parenthèses

A l'Assemblée nationale, mardi 7 septembre, le nom de Bettencourt n'a pas été prononcé une seule fois, lors de la première séance de questions d'actualité de l'année, par l'opposition. Tandis que «l'affaire» envahissait la rue.

Mathilde Mathieu et Stéphane Alliès

Mardi 7 septembre, à l'Assemblée nationale, le nom de Bettencourt n'a pas été prononcé une seule fois, lors de la première séance de questions d'actualité de l'année. Tandis que «l'affaire» envahissait la rue et les banderoles des manifestants, elle est restée à la porte de l'hémicycle. «Nous n'interrogerons pas aujourd'hui votre ministre du travail sur ses nouvelles mises en cause, a déclaré d'entrée de jeu Jean-Marc Ayrault, le patron des députés socialistes. Nous sommes une opposition responsable (...); nous souhaitons que le débat (sur les retraites) ait lieu sans esquive.»

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