Année après année, les inégalités entre femmes et hommes au travail perdurent. La crise sanitaire et sociale a montré que les «premiers de corvée» étaient avant tout des femmes. Syndicats et collectifs féministes veulent se faire entendre du gouvernement.
«Le 8 mars, ce n’est ni la Saint-Valentin, ni la Fête des mères, c’est la Journée internationale de lutte pour les droits des femmes. » Et, pour rappeler cette évidence, la CGT, l’Union syndicale Solidaires et la FSU, appuyées par 34 associations et collectifs féministes, appellent à la « grève féministe », afin de marteler que, sur le terrain du travail, les inégalités restent criantes en 2021.