Comment le juge Bruguière a enterré durant des années l'affaire de Tibéhirine
Dès le mois de juillet 2004, le juge d'instruction antiterroriste Jean-Louis Bruguière était informé de l'existence et du nom d'un informateur susceptible de relancer l'enquête sur l'assassinat des sept moines français de Tibéhirine, en mai 1996. Cet homme, c'est le général François Buchwalter, à l'époque attaché de défense à l'ambassade de France à Alger, dont l'audition le 25 juin par le juge Marc Trévidic, a relancé la procédure. Pourtant, des années durant, M. Bruguière, compagnon de route du RPR puis de l'UMP, a soigneusement évité de recueillir son témoignage, ainsi que d'autres n'allant pas dans le sens de la thèse «officielle». Mediapart a reconstitué l'instruction menée par Jean-Louis Bruguière, que l'avocat des proches des moines, Me Patrick Baudoin, accuse aujourd'hui d'avoir «étouffé» l'affaire au nom de «la raison d'Etat».
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Dès le mois de juillet 2004, la justice française – plus précisément le juge d'instruction antiterroriste Jean-Louis Bruguière – était informée de l'existence et du nom d'un informateur susceptible de relancer l'enquête sur l'assassinat des sept moines français de Tibéhirine, en mai 1996.
Mardi 2 août, une majorité d’électeurs de l’État américain du Midwest a rejeté un amendement à la Constitution locale qui aurait permis la restriction, voire l’interdiction, du droit à l’avortement. Il s’agissait du premier test électoral depuis la révocation de l’arrêt « Roe v. Wade » en juin.
À la suite d’une révolte des emprunteurs, le pouvoir a dû réagir pour stabiliser la situation, mais le vrai problème reste son incapacité à construire un nouveau modèle économique.
Le 20 juillet, des milliers de colons israéliens se sont donné rendez-vous aux quatre coins de la Cisjordanie pour y créer dix nouveaux avant-postes en une soirée, espérant influencer la politique du gouvernement. Au grand dam des Palestiniens, qui voient de plus en plus de terres confisquées, et la violence des colons s’intensifier.
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