À l’entrée du bureau d’aide psychologique universitaire (Bapu) Pascal à Paris, une vitre transparente sépare les secrétaires de l’accueil des étudiants, qui, en cette après-midi de février, défilent dans un calme presque absolu. Ils attendent ensuite dans une grande salle blanche, sur des chaises éloignées, le masque sur le nez, leur tour pour aller parler. Chacun se mure dans un silence qui n’est interrompu que par la sonnerie du téléphone.
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