Le gouvernement accusé de faire un bras d’honneur à la magistrature

Des poursuites disciplinaires contre une magistrate posent à nouveau le problème des conflits d’intérêts d’Éric Dupond-Moretti, qui demeure insoluble malgré les décrets de déport au profit d’Élisabeth Borne.

La lecture des articles est réservée aux abonné·es. Se connecter

Quand on est magistrat, mieux vaut ne jamais avoir croisé la route de l’avocat Éric Dupond-Moretti. Une fois devenu garde des Sceaux, en juillet 2020, et alors qu’il est censé garantir l’indépendance de la justice, celui-ci n’a eu de cesse d’utiliser ses prérogatives régaliennes pour régler des comptes personnels avec des juges et des procureurs, quoiqu’il s’en défende.

1€ pour 15 jours

Résiliable en ligne à tout moment

Je m’abonne

L’info part de là

Soutenez un journal 100% indépendant : sans subventions, sans publicités, sans actionnaires

Tirez votre information d’une source de confiance

Accédez en exclusivité aux révélations d’un journal d’investigation

Déjà abonné ?

Mot de passe oublié

Voir la Une du Journal