Le gouvernement se dirige à reculons vers un pistage massif des Français
Après avoir rejeté les solutions de surveillance électronique, le gouvernement vient de céder aux multiples pressions en annonçant le développement d’une application de « backtracking ». La solution technique retenue semble pour l’instant être la moins liberticide. Mais, pour être efficace, une majorité de Français devraient l’adopter.
La lecture des articles est réservée aux abonné·es.
Se connecter
AprèsAprès avoir tergiversé durant plusieurs semaines sur l’opportunité de mettre en place une surveillance numérique des Français pour lutter contre l’épidémie de Covid-19, le gouvernement franchit le pas en annonçant le développement d’une application de traçage reposant, a priori, sur le dispositif le moins liberticide parmi ceux envisagés.